Les lavandières devaient marcher plus d'un kilomètre et demi pour laver leur linge au lavoir du village. Elles chargeaient leurs brouettes et descendaient jusqu'a la Gouline, le petit ru d'à côté. Mais après avoir frappé, nettoyé, il leur fallaient remonter et là, elles devaient pousser la poussette de linge, certes propres mais alourdi.